12 juin 2006
Tout m'écroule
Retour du tyran, de la Reine Maléfique
Son neuf carosse arrive tels milles chevaux
La rage aux dents, les yeux fermés, un vrai enclos
Sa Majesté m'assaille de noirs élastiques.
Le despote veut notre décés immédiat
Elle est courbée telle une vieille, elle qui n'a
Qu'un seul vice celui de parfois en perdre un
Et les injures jaillissent, c'est la haine des Huns.
La méchanceté laisse place aux grosses larmes
Celles qui malgrés leur humidité épongent
Tout cette guerre, sa naïveté et ses mensonges.
Mon corps est étendu sur le plancher et mes armes,
En crois sur mon torse taillaidé de blessures,
Furent la plume et la feuille blanche la moins sure.
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M
R
N