texte des élans mélancolique
Jolie temps de bohême,
En ce doux matin de mai,
Je me balade, je me promène,
Plein de bons gens semble s’aimer.
La rue est claire,
J’aime cette rue,
Rien que son air,
Vous trou le cul.
On s’y balade l’air insouciant,
Comme de petits moutons blancs,
Mais on nous trompe injustement,
Bessons nos frok serrons les dents,
Et apprécions cet enlacement.
Pendant que je pisses au coin de la rue,
Que ma quéquette à l’air bossue,
En la voyant je suis tordue,
Un chien me mort, quel trou du cul !
Et là que j’me retourne et gueule à la mort,
Ils sont là autour ces connard, ils me regardent,
j’agonises,
Et cet enfoiré de chien s’amuse et me mord,
Que maintenant ma quéquette, c’est une dame qu’elle vise.
Et ils me regardent et s’affolent,
Bordel j’ai mal, mon bras se couvre de sang,
Ces gens faux cul me souriait, mais c’est navrant,
De savoir qu’ils s’en foutent un peu qu’ce chien me morde
jusqu’à la moelle.
Je m’apprêtes à le saigner ce salaud,
Putain j’ai mal arrête donc ça,
Et de ma poche j’sort un couteau,
Mais les passant m’regarde et ils aiment ça.
Bande de crevards !
Et ma lame s’enfonce lentement,
Dans le pelage de ce bâtards,
Les passants m’regarde maintenant d’un air effrayant.
Autour de moi se forme une réunion,
De gens bizarre qui me regarde,
Ils veulent mon corps , ma punition,
Sera d’être le 4 h de tous ces gars.
Et sur quelques croquements je disparaît,
Comme un intrus, un gars trop niais,
Qu’il f’sait bon vivre dans cette rue,
Où tout le monde a tout de suite l’air plus faux cul.