17 mai 2006
Sexe bestial
Perdue dans l'immensité d'une savane douteuse
Une jolie Fleur toute blonde courait comme Marilyne
Et ses pétales volaient! Et l'humeur câline
De sa course, elle fuyait ses ardeurs dangereuses
La Fleur se fit voire, attraper puis chérir
A l'assaut de la bête elle hurla de douleur
Mais sa sève, coulant, ravala son malheur
Ses hurlements de peine se transformèrent en rires
"Mais quel plaisir! Mais quelle horreur!
Mes désirs sortent enfin de leur torpeur
Enfin! je peux sentir la chaire de cet engin véloce
Toutes les conventions se brisent en bataillons
Dans la savane, on entends les cris de Cendrillon
Ardemment enculée par un rhinocéros.
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M