Ô anges eternels...
Ca y est, c'est partie, c'est en réalité une vie qui commence sur cette envolée du Saint Graal Sphérique.
Cet ange orangé s'eloigne rejoindre le Père des pères. Lors de sa chute (la resurection), sa magnificence nous éblouis tandis que notre géant attitré tente de toutes ses forces qu'il a caché en lui de saisir d'un geste de haute technique.
Après cet acte de jouissance qui donna vie au jeu des mondes, le péché le plus rechigné parmis les êtres vivants et morts: le stress. Par sa faute, nous manquons atrocement (en tout cas moi c'etait bel et malheureusement le cas) d'adresse pour pénétrer littéralement la fente circulaire, urne de la victoire, ou de la défaite...
Durant quatre fois le même laps de temps, ce fut un combat acharné qui était composé des plus beaux gestes imaginable (je ne crois pas à l'inimaginaire) mais aussi des coups bas qui enervent et ressèrent la tension.
Le filtre d'amour le plus puissant ruissele sur nos corps déchainés et fatigués. Chaque mouvement amène sa pluie avec lui, alors nous assistons le déluge en en étant les précurseurs.
Malheureusement, le culot d'un barbare adversaire a eu raison de nous, et nous avons perdus la guerre, nous avons perdus la vie...
Tu Vas Me Manquer...