Au nom du père...
Elle me cogna alors, il sonnait et demie,
19h exactement c’est l’heure où l’on punit,
S’avança alors avec ces propos le Saint esprit,
Qui me harcelait encore de plusieurs moqueries.
« Mais ta tenue vestimentaire n’est pas convenable »,
Fit il avec ces grands ricanements,
En me pointant du doigts d’une façon désagréable,
Mais je m’en fiches encore et m’en vais souriant.
Après comme pour me faire réagir
Le Saint esprit revient à la charge en critiquant mon physique,
Et encore les paroles ne m’effleurent, encore reste le sourire,
Tout simplement parcequ’à force on connaît la rythmique.
On m’atteint alors dans de plus grande hauteur,
En critiquant maintenant mes piètres talents de basketteur,
Et se joint à la fête, il le faut, notre Père,
Qui me singe, rigolant, et je pique une colère.
« De toute façon je me sais incapable finit»,
Et me dirige au couloir pour éteindre mes paroles,
Et tant pis si le Saint esprit crie,
Moi je m’en vais pendant qu’il crie et s’affole.
Et dans la chambre je repense, pour n’oublier le Fils,
Que quelques jours avant en compagnie du Frère,
Il m’envoyait mon imbécillité au visage toujours avec pleins de malice,
Et devant ce spectacle je ne devait que me taire.
Mais ce monde est trop beau,
De ce monde je ne suis de trop,
Car je sais ma présence ici,
Utile à leur moqueries,
Mais je m’en fout de toute façon je vous aime Père, Fils et Saint esprit.