1 février 2007
Petite Pan, pistolero des organes vitaux
La larme coule de là bas, en haut,
Et Shakespeare s'amuse à jouer au héraut.
Petite Pan, elle, boude dans son coin,
Les Quatre Yeux, eux, fouillent ses recoins.
L'alerte raisonne alors dans toute la ville.
Les Quatre Yeux, eux, voyagent et fourmillent
Patiemment, attendant la fin
Du coup de tonnerre sans fin.
Petite Pan, elle, sautille sur les sentiers
Gorgés de restes de truies ayant été saignées.
Les ancienne cuses fusent
Et tout le monde s'accuse.
Les Chiens enragés bavent sur les pâquerettes,
Gazon bien entretenues des mini midinettes.
Tandis que les lèvres se mêlent
Petite Pan règne, belle.
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